« Nous parlons ici d’êtres humains qui comptaient sur cet emploi pour subvenir à leurs besoins. Certaines personnes ont quitté d’autres emplois pour travailler à la SQDC. Ces travailleurs se font demander de volontairement couper des heures. C’est un gâchis », d’affirmer Pierre-Guy Sylvestre, économiste et conseiller syndical au SCFP.
La SQDC a ouvert ses premières succursales le 17 octobre dernier, jour de la légalisation du cannabis. Aujourd’hui, la société d’État parle d’en fermer.
« On témoigne ici d’une improvisation totale de la part de la SQDC. Ces travailleurs vivent une situation très précaire, difficile et nous sommes là pour eux », d’ajouter le porte-parole du SCFP.
Pour toute question ou pour obtenir des renseignements supplémentaires sur le SCFP, visitez le site leplanscfp.ca.
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