L’événement prendra la forme d’un court panel, suivi d’une discussion collective. Le panel comprendra des intervenant-e-s qui défendent l’indépendance (André Frappier et Sibel Ataogul) et d’autres qui s’y opposent en tant que priorité stratégique (Céline Hequet et Alain Savard). La période de discussion collective permettra d’élaborer ensemble à partir de ce point de départ.
L’événement sera séparé en deux parties.
La première partie traitera de la question « Le Québec est-il une nation opprimée ? » On y abordera la question du nationalisme, la nature de l’État canadien, le capitalisme canadien, le statut de la langue française et la relation entre l’oppression nationale et les autres formes d’oppression (patriarcat, racisme, etc.).
La seconde partie posera la question : « L’indépendance permet-elle l’émancipation ? » On y discutera du projet d’assemblée constituante, du rôle de la constitution canadienne, des alternatives à l’indépendance nationale, et des alliances pan-canadiennes.
Le but de l’événement est d’offrir un cadre convivial pour débattre collectivement d’une question cruciale pour la gauche québécoise.
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