« Depuis 18 mois, environ 10 personnes ont quitté leur emploi à Val-David. C’est immense lorsque nous prenons en considération qu’il n’y a qu’une quinzaine de cols blancs à Val-David. Nous avons rencontré la mairesse pour lui parler de la situation. Elle s’était engagée pour tenter de régler la situation, force est de constater que la situation perdure », a dénoncé Mario Lamontagne, conseiller syndical au SCFP.
Il rappelle qu’un grief de portée générale a été déposé en mars 2014 pour harcèlement psychologique à l’hôtel de ville et que la mairesse a fait preuve de laxisme dans le dossier.
Le syndicat est devant la Commission des lésions professionnelles et la CSST a aussi été saisie du dossier.
« Les tribunaux sont lents, alors nous amenons le problème dans la cour politique et publique en espérant que ça change rapidement », a expliqué le conseiller syndical.