Femmes victimes de violence conjugale : le FRAPRU et l’Alliance des maisons de 2^eme étape rappellent l’urgence de débloquer des projets de logements sociaux dès le prochain budget du Québec
Montréal, le 26 février 2021 – Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) et l’Alliance des maisons de 2^eme étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale (Alliance MH2) interpelleront le gouvernement du Québec, le dimanche 28 février prochain. Cette conférence de presse vise à mettre en lumière les conséquences désastreuses du manque de proactivité de l’administration Legault en matière de logement social sur les femmes victimes de violence conjugale. Les deux regroupements réclameront des investissements ambitieux afin de mettre un terme à une situation catastrophique pour trop de femmes à l’heure actuelle.
· Date : 28 février 2021
· Heure : 11h
· Où : 4700 Saint Ambroise, Montréal, Qc, H4C 2C7
· Qui :
· Céline Magontier, responsable des dossiers Femmes au FRAPRU
· Gaelle Fedida, coordonnatrice politique à l’Alliance MH2
· Témoignages :
· Nevila Mane, de la Maison d’hébergement La Dauphinelle, parlera de l’importance du logement social, dont les maisons de 2^e étape pour les femmes victimes de violence conjugale qui fréquentent la Maison La Dauphinelle ;
· Sandrine Belley, de Libr’elle, parlera du projet de développement d’une coopérative pour femmes seules et monoparentales, prévue au 4700, Saint-Ambroise (lieu de la conférence de presse) bloquée, faute de financement.
Note : La conférence sera diffusée en direct sur la page Facebook de l’Alliance MH2 :
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain est un regroupement national pour le droit au logement. Le FRAPRU est aussi actif sur les enjeux d’aménagement urbain, de lutte contre la pauvreté et de justice sociale. Il est présentement composé de quelque 140 groupes membres.
L’Alliance des maisons de 2^eme étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale regroupe et représente les maisons d’hébergement de 2e étape qui offrent aux femmes, avec ou sans enfants, des services spécialisés en violence conjugale post séparation par l’entremise de logements transitoires sécuritaires. En 2019, les 24 membres de l’Alliance ont hébergé 512 personnes (223 femmes et 289 enfants) en danger de violence conjugale postséparation dans un parc total de 119 logements et 21 chambres
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