« C’est inacceptable, il y a des citoyennes et des citoyens de Kanesatake qui me contactent parce qu’ils s’inquiètent pour leur sécurité. Si cette situation se produisait à Laval ou à Saint-Eustache, ça serait réglé depuis longtemps », a déclaré Mme Massé.
Rappelons que la compagnie Construction Nexus, à l’origine des déversements illégaux, a été sanctionnée 6 fois en 4 ans pour des infractions environnementales.
« Les citoyens ont peur pour leur sécurité, les employés du ministère de l’environnement ont peur de faire des inspections et les médias ont peur de se rendre sur le terrain. Ça se passe au Québec tout ça, on ne peut pas accepter que le crime organisé continue ses activités en toute impunité, je demande à la CAQ d’intervenir sans plus attendre. Des solutions existent : le gouvernement pourrait révoquer le permis de la compagnie multi-récidiviste, ou du moins, le ministère pourrait installer une station d’échantillonnage à l’extérieur, pour contrôler ce qui entre dans la communauté », dénonce Mme Massé.
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