Féminisme anti-impérialiste sur le continent africain
La militante de la Marche mondiale des femmes au Sénégal parle du contexte actuel des luttes des femmes dans la région.
La militante de la Marche mondiale des femmes au Sénégal parle du contexte actuel des luttes des femmes dans la région.
Mamadou Albert Sy, analyste politique et journaliste passé par le quotidien “Walfadjri” et Info7 TV, décrypte pour “Courrier international” les raisons du succès du parti de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko lors des législatives anticipées du 17 novembre. Une razzia électorale qui suscite (…)
Le moins qu’on puisse dire est que l’enfantement d’un nouveau Sénégal souverain se fait dans la douleur et des secousses singulières bien qu’artificielles. Pour neutraliser les provocations des élites déchues, les leaders du camp patriotique pourraient élever le niveau du débat, dans le respect (…)
La France a annoncé en juin 2024 l’allègement du dispositif de pré-positionnement de ses armées en Afrique subsaharienne : les effectifs seront réduits à environ 300 hommes au Tchad et une centaine dans chacune des bases existant au Gabon, au Sénégal et en Côte d’Ivoire. À sa manière, cette (…)
Même si la dissolution de l’Assemblée nationale était attendue depuis plusieurs semaines au Sénégal, la mesure divise désormais le pays impatient de voir le président Diomaye Faye appliquer enfin son programme.
Le remplacement du ministère de la Femme par celui de la Famille est une régression. Aucun secteur n’échappe à la compétence, l’expérience et le dévouement des femmes
L’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye avec 54,28 % des voix dépassant largement le candidat du pouvoir Amadou Ba (35,79 %), peut être considérée comme la seconde rupture qu’a connue le Sénégal depuis son accession à l’indépendance en 1960. La première fut celle de la victoire électorale de (…)
La victoire de Faye, fruit de la mobilisation populaire, crée une nouvelle situation politique permettant à la gauche radicale de peser pour une véritable rupture. De la prison au palais présidentiel, le parcours est plutôt singulier pour Bassirou Diomaye Faye qui vient de remporter les (…)
Certaines grandes puissances aiment souvent donner des leçons de démocratie à des pays en développement, notamment africains. Or, cette formidable alternance démocratique, qui vient d’avoir lieu au Sénégal pour la troisième fois dans l’histoire de ce pays, tombe à point nommé pour bien montrer (…)
La présidentielle du 24 mars 2024 a pris la forme d’un referendum pour ou contre la continuité du système néocolonial vermoulu de domination, de servitude volontaire, de prédation et d’autocratie.
Dans le sillage des résultats préliminaires de l’élection présidentielle au Sénégal du 24 mars, un tournant majeur se profile dans le paysage politique sénégalais. L’ancien Premier ministre Amadou Ba a officiellement admis sa défaite face à l’opposant Bassirou Diomaye Faye, marquant ainsi une (…)
Habituellement, l’élection présidentielle sénégalaise se tient le dernier dimanche du mois de février de la dernière année du mandat en cours. Cette année, elle va finalement se tenir avec quatre semaines de retard, après moult rebondissements liés à la volonté farouche du président sortant de (…)
C’est une campagne présidentielle raccourcie, de deux semaines seulement, qui s’est ouverte au Sénégal après une période de turbulences. Dix-neuf candidats brigueront le mandat suprême, dans ce qui s’annonce déjà comme une campagne inédite.
Un projet de loi d’amnistie au Sénégal a franchi hier une première étape à l’Assemblée nationale, avec l’adoption en commission de ce texte critiqué par l’opposition, en pleine crise autour du report de l’élection présidentielle, rapporte l’AFP.
La Cour constitutionnelle vient d’infliger un cinglant démenti à Macky Sall en refusant d’avaliser la prolongation de son mandat présidentiel. Cela ne l’empêche nullement de continuer ses manœuvres.
Que le prochain scrutin présidentiel s’est transformé en un quasi-référendum opposant deux camps : celui des adeptes de la continuité néocoloniale, face à l’immense majorité du peuple, qui en souffre et le subit en victime non consentante.
Incapable de gagner les prochaines élections, le président sortant tente une énième manœuvre pour s’assurer que l’opposition radicale ne remporte pas le scrutin présidentiel.
En mettant fin de manière unilatérale, et sans base légale, au processus électoral trois semaines avant le premier tour de la présidentielle, Macky Sall a plongé le Sénégal dans une crise institutionnelle sans précédent. Depuis qu’il dirige le pays, il n’a cessé d’instrumentaliser la justice à (…)
C’est un véritable séisme politique au Sénégal. Pour la première fois depuis 1963, et l’élection de Léopold Sédar Senghor, le Sénégal reporte la Présidentielle. Le scrutin devait avoir lieu le 25 février, mais le président Macky Sall a pris la parole samedi 3 février à quelques heures de (…)
En refusant au mandataire du président Ousmane Sonko de disposer des fiches de parrainage, en principe libres d’accès pour tout citoyen sénégalais désireux de prendre part aux prochaines joutes présidentielles de l’année prochaine, la direction générale des élections vient de poser un acte aussi (…)
En février 2021, au pays de la « Teranga », en pleine pandémie du Coronavirus, les restrictions mises en place pour tenter de contenir le virus ont paralysé l’économie du pays. Plusieurs commerces sont à l’agonie, le couvre-feu et l’insuffisance drastique des moyens de subsistance, ont fini par (…)
Les mobilisations populaires ne faiblissent pas contre la volonté du président Macky Sall de rester au pouvoir en éliminant son rival Ousmane Sonko. Elles font face à une violente répression, mais sont une opportunité pour la gauche sénégalaise.
La tension entre le pouvoir et le camp d’Ousmane Sonko, très populaire chez les jeunes, n’a cessé de grimper depuis deux ans. En instrumentalisant la justice depuis son élection afin d’écarter ses principaux concurrents et en laissant penser qu’il briguerait un troisième mandat, Macky Sall a (…)
La dernière lettre hebdomadaire d’Afrique XXI souligne le glissement des obsessions diplomatiques françaises sur le continent africain, du danger anglo-saxon au péril russe. Dans quelle mesure ce changement opère-t-il une mutation du paradigme françafricain ?
Presse-toi à gauche ! propose à tous ceux et celles qui aspirent à voir grandir l’influence de la gauche au Québec un espace régulier d’échange et de débat, d’interprétation et de lecture de l’actualité de gauche au Québec...