Le président de la CSQ, Éric Gingras, est satisfait de constater que « le ministre et son gouvernement ont entendu notre message, et c’est encourageant. Il était important de penser au personnel en place, qui est demeuré en poste dans le réseau malgré la situation difficile, en même temps qu’on adopte des mesures pour convaincre des infirmières et des infirmières auxiliaires du privé de revenir dans le secteur public ».
Pour sa part, la présidente de la FSQ-CSQ, Claire Montour, reconnaît que « l’effort financier est important et qu’il aura très certainement un impact positif. De plus, nous avons l’engagement de la création d’un comité de travail portant sur les enjeux tels que l’attraction-rétention, la conciliation travail-famille et la stabilité des postes. Cela nous rassure, car ce sont des enjeux primordiaux à corriger si l’on veut vraiment régler les problèmes de pénurie du personnel à long terme », confirme Claire Montour.
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