« La nouvelle ministre à l’occasion de déchirer ce contrat-là. Il n’y a aucun contrat qui peut tenir l’État responsable de se faire arnaquer pendant 40 ans, ça n’existe pas », déclare Vincent Marissal qui exige également que le contrat soit entièrement rendu public afin de connaître l’ampleur du problème ainsi que les modalités de résiliation du contrat.
Monsieur Marissal soutient que dans tous les contrats dûment signés, il y a des clauses, notamment sur la fraude. Dans ce dossier du CHUM et du CUSM, il y a eu des cas extrêmement douteux et même des condamnations. Ce contrat coûte cher aux Québécois, la ministre McCann ne peut pas se défiler de ses responsabilités et simplement dire qu’elle a les mains liées.
« Le gouvernement de la CAQ a une belle occasion de démontrer qu’il peut faire différemment des libéraux. Le coût de résilier le contrat est certainement moindre que de continuer à payer comme si on avait ouvert les valves à quelques individus et quelques entreprises qui en profitent », défend le responsable solidaire en matière de justice fiscale et de services publics, Vincent Marissal.
Un message, un commentaire ?