Une meilleure protection contre la sous-traitance et l’ajout de postes étaient au cœur des discussions à la table de négociation.
« Les nouveaux postes vont permettre d’atténuer la surcharge de travail ce qui aura un impact direct sur la qualité du service aux élèves. Sans répondre complètement à l’ensemble des besoins, la création de ces emplois est un pas vers la bonne direction », de mentionner Léandre Lapointe, vice-président du regroupement privé de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN).
Durant les dernières années, le collège avait choisi de transférer graduellement les tâches des ouvriers d’entretien à un sous-traitant. Les arguments du comité de négociation ont convaincu l’employeur d’y mettre fin et de maintenir les postes actuels. D’une durée de cinq ans, la nouvelle convention collective prévoit par ailleurs une bonification des droits syndicaux et un pouvoir décisionnel sur la formation et le perfectionnement du personnel.
Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de Villa Maria représente une cinquantaine d’employé-es non-enseignants. Il est affilié à la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec-CSN.
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