Des rencontres seront tenues au cours des prochaines heures et permettront au syndicat d’y voir plus clair. « Nous n’allons ménager aucun effort pour soutenir nos membres. Nous allons non seulement les supporter mais également évaluer tous les recours que nous pourrons prendre pour freiner ou même éviter la mise à pied. », a commenté Renaud Gagné, directeur québécois d’Unifor.
Des rencontres avec l’entreprise sont prévues au début de la semaine prochaine. Toutefois d’ici là Unifor et sa section locale 62 auront évalué toutes les avenues leur permettant de protéger les emplois et les intérêts de leurs membres.
Unifor représente près de 1700 membres dans les usines de Bombardier à Montréal.