« À l’approche de la Commission parlementaire sur l’avenir des médias au Québec qui s’amorcera le 26 août prochain, le gouvernement doit agir sans tarder. Les six quotidiens de Groupe Capitales Médias ne doivent pas cesser d’être publiés. Outre les dizaines d’emplois qui sont menacés, il y a ici l’avenir de la presse écrite régionale qui se joue. C’est aussi un enjeu important pour la démocratie et l’avenir de l’information », déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.
« Le temps presse où nous ne pouvons attendre la conclusion de la Commission parlementaire et les délais inévitables à la préparation et à la mise en place d’un plan global pour venir en aide aux médias, aux médias écrits plus spécifiquement. Nous sommes tous conscients qu’assurer la pérennité de cette industrie, d’une entreprise en particulier, ne peut s’improviser. Cependant, nous sommes devant le fait accompli ; c’est pourquoi un plan de sauvetage doit être mis en œuvre dès maintenant », ajoute le président de la FTQ.
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