« Nous ne pouvons que nous réjouir de la nouvelle, car c’est exactement ce que nous demandions vendredi dernier. Mais évidemment, une solution à plus long terme devra être trouvée. Et nous sommes déjà en mode recherche de solutions », a indiqué Renaud Gagné, directeur québécois d’Unifor.
Pour le syndicat Unifor, il est prématuré à ce moment-ci d’identifier un scénario précis. « Il faut d’abord se concentrer sur les membres afin de les soutenir et s’assurer de les représenter adéquatement », a indiqué M. Gagné.
L’importance des médias régionaux et de la presse écrite n’est plus à démontrer. Il s’agit de la survie même des nouvelles locales et de manière plus large, de la démocratie. L’enjeu est de taille. « Il faut absolument trouver une solution viable pour l’avenir de ces journaux et celui des emplois qui en dépendent », a conclu M. Gagné.
Le syndicat Unifor suivra de près l’évolution de la situation alors que son service juridique est déjà impliqué et travaille de près avec les sections locales dans ce dossier.
Unifor représente une centaine de personnes salariées de GCM œuvrant à La Tribune de Sherbrooke et au Quotidien de Saguenay.
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