« Nous l’avons tous constaté depuis quelque temps, il y a une montée de l’intolérance, c’est pourquoi toutes formes d’aide aux groupes de défense des droits LGBTQ+ et transphobes doivent être applaudies. Le milieu communautaire a besoin d’être soutenu, pas seulement par de belles paroles, mais surtout par des engagements financiers clairs et récurrents afin qu’il n’ait pas à quémander du financement chaque fin d’année pour pouvoir assurer sa survie et continuer à donner des services de qualité », déclare la présidente de la FTQ, Magali Picard.
« Pour notre comité sur la diversité sexuelle, corporelle et de genre, il y a un grand besoin d’avoir des organismes de soutien et d’écoute active et de santé auxquels se référer afin de mieux lutter contre la discrimination, l’intimidation et la violence. Nos milieux de travail ne sont pas à l’abri de préjugés et de malveillances, c’est pourquoi plus nous sommes outillés pour y répondre mieux se portent nos milieux de travail », ajoute la présidente.
Nonobstant ce plan d’action, il reste incohérent de la part du gouvernement de ne pas avoir inclus une personne trans ou non binaire à son comité de sages pour étudier les questions relatives à l’identité de genre et de remettre à 2025 sa décision sur l’utilisation du marqueur X sur les documents officiels tels que le permis de conduire ou la carte d’assurance maladie.
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