Du 3 mars au 25 mars 2018
Réseau souterrain + lieux satellites de Montréal
PRÉSENTATION DU THÈME ET DES COMMISSAIRES D’EXPOSITION
La 10e édition du festival Art Souterrain a pour thème Labor Improbus et se déploiera du 3 au 25 mars 2018, dans un parcours artistique gratuit de six kilomètres s’échelonnant dans des édifices du réseau piétonnier souterrain de Montréal et dans des lieux culturels satellites.
Les festivaliers pourront ainsi découvrir durant trois semaines des installations, des sculptures, de l’art vidéographique, photographique, numérique et performatif en lien avec le thème de cette année. Des visites guidées et commentées, conférences, tables rondes et rencontres d’artistes seront également proposées lors de cet événement annuel d’art contemporain unique en Amérique du Nord.
Les artistes de l’édition 2018 ont été choisis sur la scène canadienne et internationale par Frédéric Loury, commissaire principal et directeur général d’Art Souterrain, ainsi que par deux commissaires invitées, spécialistes de l’art public, Pascale Beaudet et Emeline Rosendo.
LABOR IMPROBUS
Le travail est une problématique récurrente dans l’Histoire de l’Art qui, encore aujourd’hui, interroge et inspire les artistes de tous les horizons. Au travers d’une sélection aussi large que variée d’artistes québécois.e.s, canadien.e.s et internationaux, cette nouvelle édition entend mettre en lumière un sujet intemporel, source d’inspiration inépuisable, que les artistes contemporains se plaisent à questionner, dénoncer, caricaturer et... travailler ! Ainsi, les différents thèmes abordés par les artistes pour cette 10e édition, tels que l’esclavagisme moderne, la prostitution, les vacances, la migration pendulaire, la crise économique, les grèves, ou encore le travail des migrants accompagneront durant trois semaines les centaines de travailleurs montréalais qui transitent quotidiennement par les souterrains jusqu’à leur lieu de travail. Une mise en abyme significative qui fera des visiteurs les acteurs principaux de la réflexion menée cette année. » Extrait de l’éditorial de Art Souterrain.
Un message, un commentaire ?