« De plus, le 9 septembre, à 13 h 30, l’ensemble des 1800 membres est invité à une assemblée générale pour faire le point et pour procéder à un autre vote de grève », d’expliquer
Louisa Cordeiro, présidente du SEUQAM.
Dans l’espoir de mettre fin à l’impasse, une rencontre entre la direction et le syndicat est prévue vendredi en avant-midi.
Le 3 juillet dernier, les membres avaient voté pour exercer des moyens de pression pouvant aller jusqu’à cinq jours de grève.
« Lors de la présentation de la dernière offre de l’employeur au mois de juillet, la réponse de l’assemblée générale a été presque unanime : vote de grève avec appui de 93 % des participants », d’ajouter celle-ci.
Les 1800 employés de soutien demandent à l’employeur de revenir à la table de négociation avec une offre salariale bonifiée, car celle-ci est la source principale du litige. « Nous voulons seulement être payés correctement », de rappeler Mme Cordeiro.
Les employés de soutien de l’UQAM sont sans convention collective depuis le 31 mai 2017. Le vote de grève a eu lieu le 3 juillet dernier.
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