De manière plus précise, les déclarations du maire étaient les suivantes :
« Je m’excuse pour l’incompétence des gens qui ont travaillé là-dessus, pour les fonctionnaires incompétents qui n’ont aucune conscience de ce que c’est vivre en société, qui sont dans leur bulle. Je ne sais pas s’ils voient des humains dans une semaine. En tout cas, ceux qui ont travaillé là-dessus n’en ont pas vu depuis une secousse. »
[…]
« J’espère que ces gens ne travailleront plus longtemps pour nous autres. »
[…]
« Le problème dans l’administration publique, c’est que les fonctionnaires font leur travail sans se demander les conséquences. « Les conséquences, on s’en fout parce que les politiciens vont ramasser. » Je suis tanné de ça… Au RTC et à la Ville de Québec, ça été mené avec un amateurisme total par des parfaits incompétents. »
[…]
« Ça fait deux ans que je le dis : quand on sort quelque chose, il faut l’expliquer à la population. Les incompétents nous ont fait voter ça [lundi soir] et j’étais convaincu qu’il y avait une stratégie de communication. Mais il n’y en avait pas et ces incompétents se cachent depuis deux jours. »
[…]
« Ces gens ont des permanences, la sécurité d’emploi, et en quelque part, ils s’en foutent. »
[…]
« …[depuis le début de la controverse], « ils se cachent, plus personnes ne veut sortir. Le feu est pris et ils ont peur. Ce sont des pleutres.
ऀSource : journal Le Soleil, édition du jeudi 4 novembre 2010
L’audience débutera à 9h00 à l’Hôtel Quartier devant l’arbitre Gilles Desnoyers. La Ville entend débuter en soulevant que l’arbitre n’a pas la compétence pour entendre le litige étant donné que le Syndicat réclame des montants pour l’ensemble des cols blancs de la ville.
À ce stade-ci, le président du Syndicat des fonctionnaires municipaux de Québec (FISA), monsieur Jean Gagnon, réserve ses commentaires et fera connaître sa réplique aux arguments de la Ville en temps opportun.