« Nous avons radicalement changé la capacité d’action et d’intervention du SPGQ au cours des dernières années. Nos positions sont claires, documentées et branchées sur les préoccupations de nos membres et de la population que nous desservons. Grâce à notre travail d’envergure, nous pouvons maintenant affirmer que le SPGQ est devenu un acteur crédible et incontournable de l’espace public québécois », explique le président réélu du SPGQ.
Richard Perron sera soutenu par Francine L’Espérance, première vice-présidente pour un second mandat, Manon Therrien, deuxième vice-présidente pour un second mandat, Jean-François Landry, troisième vice-président, David Bernans, quatrième vice-président, Diane Fortin, trésorière, et Francine Belleau, secrétaire.
Dès maintenant, le comité exécutif mettra la main à la pâte pour poursuivre les négociations en cours avec le gouvernement du Québec. « Après réflexion, le SPGQ a choisi de mener ses propres négociations en dehors d’une coalition. Nous avons mis sur pied une équipe de négociateurs qui comprend des avocats spécialisés dans le droit du travail. Nous veillerons également à assurer une communication efficace entre nos membres et les 38 unités de négociation », soutient M. Perron.
Au-delà des négociations, le SPGQ entend garder le cap sur les nombreux travaux déjà entamés lors du dernier mandat. La fin du recours abusif à la sous-traitance, le maintien de l’expertise au sein de l’appareil gouvernemental, la sauvegarde des services en régions et l’amélioration des échanges d’information entre la fonction publique et le secteur parapublic sont au nombre de ces engagements.
« Le SPGQ est là pour défendre les intérêts des professionnelles et des professionnels du gouvernement. En ces temps d’austérité, représenter de façon adéquate les membres qui sont des rouages essentiels au bon fonctionnement de la société québécoise demeure une priorité. Les défis qui se présentent devant nous sont grands, mais notre équipe est prête à les relever. D’ailleurs, au cours des derniers mois, notre syndicat a pu rencontrer à quelques reprises le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux. Des discussions qui en sont à leurs premiers balbutiements, mais qui porteront certainement leurs fruits dans un avenir rapproché », conclut le président du SPGQ.