« La situation est inquiétante, surtout dans la région de Montréal. Des données récentes ont démontré que 63 % des entreprises d’ici ont exigé que les futurs employés possèdent un certain niveau de maîtrise de l’anglais. Les Québécois et Québécoises ont le droit de travailler en français ; il faut assurer la valorisation de notre langue », déclare Benoit Bouchard, président du SCFP-Québec
L’ouverture prochaine de trois bureaux (Laval, Longueuil et Drummondville) permettra à celui de Montréal de se concentrer sur la situation actuelle de la grande métropole. L’OQLF créera ainsi 50 nouveaux postes permanents, passant à 291 employés.
« Le gouvernement pose un geste concret. Il faut non seulement surveiller l’utilisation de la langue au Québec, mais aussi soutenir et accompagner les entreprises pour qu’elles arrivent à faire vivre le fait français. », de conclure Marc Ranger, directeur québécois du SCFP.
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