Le confinement heureux, un privilège de classe ?
Chroniques enfermées, jour 3. Je vois passer sur Twitter la photo d’une banderole en espagnol : « La romantisation de la quarantaine est un privilège de classe ». Casili, qui poste la photo, ajoute : « quarantaine à deux vitesse : repos et loisir pour les uns, précarité et risque sanitaire pour (…)