Le viol tarifé
Les hommes qui paient pour du sexe. Des prostitueurs, des michetons, des viandards, des « motés »… Enfermez-les tous et envoyez-les sur une île isolée et déserte d’où ils ne pourront jamais revenir.
Les hommes qui paient pour du sexe. Des prostitueurs, des michetons, des viandards, des « motés »… Enfermez-les tous et envoyez-les sur une île isolée et déserte d’où ils ne pourront jamais revenir.
Le féminisme doit s’attaquer à la misogynie inhérente à la violence anti-lesbienne
La prostitution exploite la vie des personnes pauvres et marginalisées, tout comme l’esclavage. Pourquoi alors tant de gens de gauche soutiennent-ils le commerce du sexe ?
L’Allemagne est connue comme le bordel de l’Europe. C’est un titre durement gagné. Avec plus de 3 000 maisons closes dans le pays, et 500 rien qu’à Berlin, son commerce du sexe représente plus de 11 milliards de livres par an.
Nous devons contester la vision de gauche qui considère la prostitution comme « progressiste » et le « travail du sexe » comme libérateur. Cet article est traduit par TRADFEM et tiré du numéro de juin 2022 de la revue britannique The Critic.
Que reste-t-il à faire pour les féministes ? C’est la question que l’on m’a posée récemment à propos de la terrible situation des femmes en Afghanistan, l’idée étant que les femmes en Occident ont obtenu la liberté et la libération, alors de quoi nous plaignons-nous encore ? Mais même pour les (…)
Presse-toi à gauche ! propose à tous ceux et celles qui aspirent à voir grandir l’influence de la gauche au Québec un espace régulier d’échange et de débat, d’interprétation et de lecture de l’actualité de gauche au Québec...