Le capitalisme – et non l’humanité – tue la faune sauvage du monde
Le dernier rapport Living Planet (« Planète vivante ») du WWF fait une lecture sinistre : un déclin de 60% des populations d’animaux sauvages depuis 1970, l’effondrement des écosystèmes, et une claire possibilité que l’espèce humaine ne soit pas loin derrière.