« La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation a levé les mesures liées aux expulsions des locataires, dès maintenant, des gens vont se retrouver à la rue du jour au lendemain. C’est inadmissible ! Nous traversons une pandémie et une crise du logement, des centaines de ménages n’avaient toujours pas réussi à trouver un toit le 1er juillet dernier, comment les locataires expulsés pourront-ils en trouver un autre aussi rapidement ? On ne peut pas les laisser tomber », s’inquiète Andrés Fontecilla.
Québec solidaire propose que le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation favorise l’obligation de conclure des ententes de paiement entre propriétaires et locataires.
« Nous avons peut-être progressivement déconfiné la population, mais les impacts économiques de la pandémie et la crise du logement ne sont pas disparus pour autant. Personne ne devrait perdre son logement à cause d’une crise qui a surpris et touché tout le Québec. Devant cette situation exceptionnelle, le gouvernement ne peut pas laisser tomber les locataires, on ne peut envoyer des gens à la rue, il faut que la Régie du logement force des ententes de paiement entre propriétaires et locataires », demande le député de Laurier-Dorion.
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