Faits saillants de l’engagement
– Bonification des primes accordées aux professionnelles et aux professionnels de la santé qui travaillent dans le Nord de 10 000$ par personne ;
– Bonification de 30% des bourses pour les stages effectués dans le Nord ;
– Construction de 1000 logements dans le Nord-du-Québec dans un premier mandat : le tiers en Jamésie, le tiers en territoire Cri et le tiers en territoire Inuit.
Coût des engagements
– Logement : 330 millions de dollars en immobilisation dont 110 millions $ pour le territoire jamésien et le reste pour les territoires autochtones et inuits qui seront répartis après des discussions avec les nations concernées ;
– Santé (primes aux soignantes et stagiaires) : 9 millions $ d’argent neuf par année.
« La vraie raison de la crise des services dans le Nord, c’est une raison politique : depuis trop longtemps, le Nord est abandonné par les gouvernements. Quand les politiciens parlent du Nord, c’est pour parler de ses ressources naturelles. Il est temps qu’on parle des gens qui vivent ici : les Jamésiens, les Cris et les Inuits – c’est du vrai monde et ils méritent une députée et un gouvernement qui vont enfin s’intéresser à ce qu’ils vivent », a déclaré Gabriel Nadeau-Dubois.
« L’élection de Québec solidaire changerait bien des choses ici dans le Nord. Un changement concret, visible dans la vie de tout le monde : 1000 logements dans le premier mandat, des meilleures conditions de travail pour avoir plus d’infirmières, plus de professionnels de la santé et donc, de meilleurs soins », a-t-il ajouté.
« Les Cris et les Inuits vivent des situations très particulières en santé. Un gouvernement de Québec solidaire s’engage à bonifier le financement du Conseil Cri de la santé et des services sociaux de la Baie James et de la Régie régionale de santé et services sociaux du Nunavik. Comme Québec solidaire respecte l’autodétermination des peuples, les sommes adéquates pour assurer la santé de leurs populations seront discutées avec ces organisations. Les autorités des deux nations auront bien sûr la latitude de gérer l’allocation et l’administration de ces sommes de façon entièrement autonome », a déclaré Maïtée Labrecque-Saganash.
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