« Le modèle que nous avons proposé et qui figure au projet de loi comporte tous les avantages. C’est le plus efficace économiquement et surtout, le plus rigoureux pour protéger la santé publique. Ce monopole d’État sera pleinement dédié à minimiser les risques associés au cannabis. Le projet de loi est donc un grand pas en avant pour que le cannabis soit le mieux encadré possible au moment de la légalisation le 1er juillet prochain », a salué Denis Bolduc, président du SCFP-Québec.
Le SCFP salue en particulier la constitution du Fonds de prévention et de recherche en matière de cannabis, qui absorbera tout bénéfice éventuellement généré par la SQC. Il entend suivre de très près le processus en commission parlementaire pour veiller à ce que le projet de loi final soit à la hauteur des attentes.
« Pour que le modèle de la SQC atteigne son plein potentiel et demeure cohérent, il faudra éviter qu’il soit miné par des exceptions ou des trous dans le monopole. Une première lecture du projet révèle quelques faiblesses potentielles. Nous resterons très vigilants à cet égard », de conclure Denis Bolduc.
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