Avec une convention collective échue depuis près d’un an, le recours à ce moyen de pression s’explique en grande partie par le fait que la partie patronale reste fermement campée sur ses positions malgré de nombreuses rencontres de négociation.
Les enseignantes et les enseignants de l’est de la métropole souhaitent donc que cet ultimatum lancé au gouvernement provoque le déblocage nécessaire aux tables de négociation pour en venir à une entente satisfaisante.
Les enseignantes et les enseignants du SEPÎ font donc maintenant partie des quatre syndicats affiliés à la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), avec leurs collègues de la Haute-Yamaska, de l’Outaouais et ceux de la région de Québec, à s’être positionnés favorablement face à ce mandat de grève.
Les cinq autres syndicats affiliés doivent se prononcer au cours des prochains jours.
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