« Nous sommes prêts à explorer de nouvelles façons de faire pour moderniser les négociations. Après 40 ans, il était temps ! Favoriser des ententes plus rapides est un objectif louable. Par contre, une réforme de cette ampleur doit être précédée de consultations rigoureuses avec les organisations syndicales. La solution retenue devra être avantageuse pour les deux parties, autant pour l’employeur et que pour son personnel. L’intérêt de nos membres reste notre priorité absolue », indique Guillaume Bouvrette, président du SPGQ.
De plus, le SPGQ salue la volonté de la ministre de renoncer à bouleverser les accréditations syndicales dans le secteur de la santé. « Une période de maraudage aurait dispersé des énergies précieuses qui devraient être consacrées à renforcer les services dans le réseau de la santé », juge M. Bouvrette.
Le SPGQ invite la présidente du Conseil du trésor à maintenir un dialogue ouvert et constructif d’ici l’adoption de sa réforme. Cette approche devrait permettre de bâtir un système de négociation collective plus efficace et adapté aux réalités actuelles, tout en préservant les acquis des travailleuses et travailleurs.
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