La recommandation est survenue après deux journées intenses de conciliation.
« Nous ne sommes pas entièrement satisfaits du résultat, mais nous avons dû, tant l’employeur que les employé.es, faire des concessions dans le but de dénouer l’impasse. La sécurité d’emploi était un élément essentiel pour nous et nous avons obtenu gain de cause à ce chapitre », explique Marie-Céline Rose, présidente du SEPB-463.
Une solidarité à toute épreuve
L’unité des employé.es de bureau d’Énergir compte environ 370 travailleuses et travailleurs. Les syndiqué.es ont fait une grève de 24 heures le 14 juin dernier avant de reprendre les négociations en présence du conciliateur.
« Je suis extrêmement fière du groupe que je représente. Nos membres ont fait preuve d’une solidarité exceptionnelle. On s’est serré les coudes tout au long du processus de négociation et on sentait que notre monde était avec nous. Nous sentir appuyés par nos membres, ça fait une différence à la table de négociation », conclut avec émotion Mme Rose.
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