« Ce qu’il faut c’est, oui de bien les accueillir mais également leur donner la chance de bien s’intégrer. Et ça passe par un travail décent, la reconnaissance des acquis et aussi, et surtout, leur offrir l’apprentissage du français dans un environnement qui leur permet de bien apprendre. Pour la FTQ, offrir des cours de français sur les lieux de travail devrait faire partie de l’ADN d’une véritable politique d’intégration », ajoute le secrétaire général de la FTQ.
« Grâce à l’ouverture d’esprit de plusieurs employeurs, la FTQ et ses syndicats affiliés ont fait la preuve que l’apprentissage du français sur les lieux de travail est un succès. Les travailleuses et travailleurs immigrants n’ont pas à se déplacer après leur quart de travail et profitent d’une formation qui leur permet de bien comprendre et de s’exprimer dans la langue de leur pays d’accueil. C’est tellement évident comme solution qu’on ne saisit toujours pas pourquoi les gouvernements n’en ont pas encore fait une véritable politique d’accueil et d’intégration », conclut Denis Bolduc.
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