« Je salue le courage et la détermination des enseignantes et enseignants et de tout le personnel de la CSQ qui travaillent à la Commission scolaire Kativik, qui se sont mobilisés pour défendre leurs droits et qui font la grève aujourd’hui. Nous savons à quel point les besoins sont grands et les services y sont insuffisants. Après ses beaux discours, le gouvernement doit maintenant passer de la parole aux actes en posant rapidement des gestes concrets pour le personnel et les élèves. Les enseignants sont dans la rue pour obtenir des résultats. Le gouvernement doit non seulement les entendre, il doit agir », a fait savoir Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ.
Rappelons que l’AENQ-CSQ demande un important ajout de services aux élèves, l’amélioration des conditions de vie du personnel de même que des mesures concrètes d’attraction et de rétention pour contrer l’importante pénurie de personnel. Rappelons également que, à l’instar des résidents des communautés, le personnel subit les conséquences d’un manque chronique de logements et vit dans des conditions parfois très difficiles.
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