« Il est stupéfiant qu’une telle situation prenne place, ici, chez nous, alors que ce pays se targue d’en être un où la liberté de presse est sacrée et liée à l’idée même de démocratie, dénonce la présidente de la FNCC-CSN, Annick Charette. Rien n’interdit à un journaliste de pratiquer son métier au milieu du chaos ; il est même impératif qu’il puisse le faire, c’est sa raison d’être. Amber Bracken et Michael Toledano doivent retrouver tous leurs droits. Au nom de la protection d’une presse libre et professionnelle, les accusations à leur endroit doivent être abandonnées. »
« Ces arrestations sont inacceptables, déplore le président de la FPJQ, Michaël Nguyen. Les journalistes doivent pouvoir exercer leur métier sans craindre d’être arrêtés et de se faire saisir leur matériel, surtout au Canada. Les autorités ont un pouvoir discrétionnaire et j’espère qu’ils sauront l’utiliser à bon escient malgré les gestes déplorables qui ont malheureusement déjà été posés à l’égard d’Amber Bracken et de Michael Toledano. »
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