« Les mesures d’austérité ont couté cher à la population : coupes de service, compressions dans les programmes sociaux, diminution de l’accès aux établissements de santé, réduction des services spécialisés dans les écoles, hausse de la tarification ne sont que quelques-uns des effets négatifs de cette politique. Le gouvernement libéral a beau dire, mais les conséquences de ces coupes massives ont un impact important sur les services donnés à la population », déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.
« Les réinvestissements annoncés récemment en santé et en éducation sont loin de mettre fin aux cycles de compression. Dans les faits, ils ne suffiront même pas à rattraper les coupes des dernières années. Malheureusement, plutôt que de voir les budgets en santé et en éducation comme des investissements, le gouvernement libéral les voit comme des dépenses. Pour la FTQ, cela est inacceptable, les surplus budgétaires doivent plutôt être utilisés pour rétablir le financement des réseaux de la santé, des services sociaux et de l’éducation », conclut le secrétaire général, Serge Cadieux.
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