« Le rapport de l’IRIS confirme que les rendements espérés pour la retraite de nos membres et l’avenir de la planète ne sont pas en opposition. Au contraire, le désinvestissement dans les énergies fossiles est avantageux pour l’atteinte de ces deux objectifs. Évidemment, ce virage doit être réalisé avec prudence et en ce sens, la grille d’analyse proposée par l’IRIS sera un outil très utile », juge Guillaume Bouvrette, président du SPGQ.
À titre de membre du comité de retraite du Régime de retraite du personnel employé du gouvernement et des organismes publics (RREGOP), le SPGQ va continuer de défendre le désinvestissement des industries fossiles au bénéfice de ses membres. « Nous invitons la CDPQ à poursuivre et accélérer le désinvestissement dans les entreprises polluantes et dans les secteurs connexes et de se concentrer plutôt sur les industries de l’avenir. Cela sera bénéfique à la fois pour les retraites de nos membres et l’avenir de nos enfants », estime M. Bouvrette.
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