« Depuis le début, nous avons toujours montré notre ouverture à négocier. Nous serons au rendez‑vous avec bonne foi et sérieux. Pour la suite des relations de travail dans cette usine, il est important que ce conflit se règle sur une entente négociée », fait valoir le président de la section locale 9700, Clément Masse.
Les 1030 syndiqués de l’Aluminerie de Bécancour ont été mis en lockout le 11 janvier dernier par Alcoa et Rio Tinto. Les négociations achoppaient sur le financement du régime de retraite et le respect de l’ancienneté dans les mouvements de main-d’œuvre. Soulignons que le conflit a privé à ce jour Hydro-Québec de revenus de plus de 176 millions de dollars, en électricité gaspillée et non payée, puisque la compagnie a eu recours à la clause de « force majeure » pour se soustraire à ses obligations.
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