Le premier livre qui fait le point sur l’envers de la 5G
Une enquête journalistique solidement documentée et facile à lire
Après le Covid-19, est-ce d’une transition techno-logique dont nous avons besoin pour construire le monde d’après ?
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5G mon amour
Enquête sur la face cachée des réseaux mobiles
de Nicolas Bérard
La France compte plus de cartes SIM en circulation que d’habitant·es, et demain, avec l’arrivée de la 5G, ce seront tous les objets du quotidien qui seront connectés. Les voitures seront autonomes. Les foyers communicants. Les villes « intelligentes ».
Mais est-on vraiment sûr que l’utilisation tous azimuts d’ondes électromagnétiques ne présente aucun risque ? Absolument pas, répond Nicolas Bérard au terme d’une enquête sur l’envers de ce "miracle technologique".
Comment et par qui les normes, censées nous protéger, ont-elles été mises en place ? Quels liens entre opérateurs téléphoniques, médias et gouvernements ? Quels sont les effets de cette technologie sur la santé humaine et le vivant ?
À l’aube du développement d’une nouvelle pollution de masse, ces questions ne sont jamais posées dans le débat public.
L’AUTEUR
Nicolas Bérard est journaliste. Il enquête depuis plusieurs années sur les questions de l’énergie, des ondes et de la smart city. En 2017, il a publié [ Sexy, Linky ? qui dénonce les effets néfastes de ce compteur dit-intelligent. Après avoir participé à la création de plusieurs médias indépendants, il collabore depuis 2013 au mensuel [
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L’âge de faire
Une préface inédite de l’auteur !
Un texte d’anticipation qui revisite avec brio deux thèmes classiques de la SF : voyage dans le temps et fin du monde
Un sujet d’une actualité brûlante traité avec cynisme et autodérision : la fascination pour l’effondrement et notre apathie face aux bouleversements du monde
« La fin du monde ? Un sacré spectacle, les enfants ! » Dans un avenir proche, des jeunes couples friands de divertissements en tous genres sont réunis à l’occasion d’une soirée. Au centre des discussions, une distraction inédite tout juste expérimentée par la plupart d’entre eux : les agences de voyages temporels proposent désormais une nouvelle destination. En trois heures de temps, il est possible d’aller assister, à bord d’un vaisseau, à la fin du monde. Mais, les récits des voyageur·ses ne concordent pas. Tandis que les invité·es décrivent et comparent, à l’aune de leur caractère spectaculaire, les paysages mortifères contemplés, de l’extérieur arrivent des nouvelles alarmantes (catastrophes naturelles, épidémies…) mais qu’ils semblent totalement ignorer.
À l’heure où la notion d’effondrement fait florès tant dans l’industrie culturelle que dans les grands médias, Robert Silverberg nous enjoint à nous arracher de notre position indolente de spectacteur·ices d’un effondrement qui ne relève plus de la fiction. Un cri d’alerte !
L’AUTEUR
Né en 1935, Robert Silverberg est un pilier de la SF. Il publie sa première nouvelle à l’âge de dix-huit ans et remporte le prix Hugo de l’auteur le plus prometteur deux ans plus tard. Une première consécration qui marque le début d’un travail d’écriture prolifique . On lui doit entre autres Les monades urbaines ; Le livre des crânes… Il a reçu en 2004 le titre de « Grand Maître de la science-fiction ».
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