Une tribune libre pour la gauche québécoise en marche
Le 25 avril prochain, le Portugal fêtera le quarantième anniversaire de la « Révolution des œillets ». Dernier exemple d’un soulèvement populaire et radical dans le monde occidental, elle fit tomber la plus vieille dictature d’Europe et s’approfondit jusqu’à menacer le pouvoir de la bourgeoisie. (…)
Le jeudi 27 juin, le Portugal a vécu une journée sans aucun transport ferroviaire, sans transports collectifs dans les villes, avec des écoles et des centres de santé fermés et des hôpitaux fonctionnant avec le service minimum indispensable...
Francisco Louçã est professeur d’économie à l’Instituto Superior de Economia et des gsetion de Lisbonne e. Il est l’auteur de nombreux livres et essais dont Ensaio para uma Revolução [Répétition pour une révolution] ; As Time Goes By - De la révolution industrielle à la révolution de (…)
Les centrales syndicales CGTP et UGT ont remis vendredi dernier au ministère de l’Economie un préavis de grève générale pour le 27 juin prochain. Pour le secrétaire général de la CGTP, Arménio Carlos, les trois causes de cette grève sont les suivantes.
Dans ce texte, le militant portugais João Camargo - membre d’un collectif de travailleurs précaires ("Précaires inflexibles") - revient sur la situation politique au Portugal. Victime de programmes d’austérité brutaux, d’abord imposés par le PSP (Parti socialiste portugais) puis par le PSD (…)
Ni « Marées citoyennes », ni « Plateformes contre l’austérité ». « Que la Troïka aille se faire foutre » (en portugais : « Que se lixe a troika », NdT). Directement. C’est avec ce nom explicite qu’un collectif citoyen formé par des dizaines de personnes est parvenu à mobiliser à plusieurs (…)
par Chris, 6 mars, voir vidéo.
Témoignage d’un participant à la grande manifestation de Lisbonne ce week end, membre du mouvement "Que se fixe a troïka", "Que la troïka aille se faire foutre". On a bien fait d’y aller. Et on n’était pas les seuls. On avait l’impression d’être un million. La télé a dit plutôt 500 000. Ce qui (…)
« Il est temps pour le gouvernement de s’en aller » et « Qui doit de l’argent ici c’est le banquier », a-t-on crié hier dans les rues de 40 villes au Portugal. Tiré du site de À l’encontre.
"A partir d’aujourd’hui et jusqu’à la fin du mois de mars il y aura des grèves et des manifestations dans tout le pays", a annoncé le secrétaire général de la CGTP, Arménio Carlosa, à l’issue des manifestations contre l’austérité à Lisbonne et dans les autres grandes villes du Portugal ce samedi.
Les 10 et 11 novembre, Bloco de Esquerda (Bloc de Gauche) tenait son 8e congrès dans une actualité marquée par la préparation active des manifestations contre la venue d’Angela Merkel à Lisbonne le lundi 12 puis de la grève générale du 14 novembre.
Le 14 novembre 2012 aura lieu une grève générale convoquée par la CGTP mais elle concerne tout le monde, tous ceux qui souffrent des conséquences brutales des politiques d’austérité et d’appauvrissement que la Troïka nous impose et que le gouvernement PSD/CDS applique aveuglément et servilement, (…)
Viento Sur 22 septembre 2012 (tiré du site Europe solidaire)
Les médias internationaux ont fait l’impasse sur l’énorme mobilisation populaire qui a secoué la vie politique du Portugal le samedi 15 septembre 2012 : un million de manifestants (10% de la population) dans tout le pays dont au moins 500 000 dans la capitale. La plus grande manifestation depuis (…)
La grève générale du 22 mars au Portugal a renforcé la lutte contre la Troïka et le gouvernement de droite PSD-CDS.
Nous publions ci-dessous la traduction d’un communiqué du Bloc de gauche du Portugal. Il résume une résolution prise par sa Coordination nationale qui s’est tenue le 3 décembre 2011. Nous y avons ajouté quelques passages de la résolution, beaucoup plus longue, afin de mieux éclairer certaines (…)
La grève générale convoquée le 24 novembre par les deux centrales syndicales portugaises, la CGTP et l’UGT, a confirmé la division du pays, déjà manifeste lors du précédent mouvement social d’ampleur nationale, en novembre 2010, quand les socialistes de José Socrates étaient encore au pouvoir. (…)
Tout en reconnaissant sa défaite, le porte-parole du Bloc de gauche portugais, Francisco Louça, a affirmé qu’il fallait apprendre de la situation et qu’il acceptait sans amertume le choix des électeurs et des électrices qui ont choisi de voter pour d’autres partis. Il a promis de se battre (…)
Pour faire face à son déficit budgétaire et à son endettement, le Portugal a négocié avec le FMI, la Banque européenne et l’Union européenne un prêt de 78 milliards d’euros sur trois ans.
La démission du Premier ministre socialiste, José Socrates, le 23 mars, a ouvert au Portugal une crise politique importante. À la tête d’un gouvernement minoritaire, le chef du PS est tombé face à un vote négatif du Parlement pour l’adoption d’un quatrième plan d’austérité. La gauche radicale – (…)
Le mercredi 23 mars, José Socrates, Premier ministre portugais, membre du Parti socialiste, a démissionné suite au rejet massif par les partis d’opposition d’une dernière proposition de mesures d’austérité, censées empêcher l’économie portugaise - considérée comme la plus faible dans la zone (…)
Pour Diogo, Antoine, José et Pierre, la « génération 500 euros » doit se battre, « entre nostalgie et défiance ».
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi contre la précarité à Lisbonne et dans une dizaine d’autres villes portugaises, selon les organisateurs de cette initiative lancée par un groupe de jeunes via une page Facebook.
La grève générale du mercredi 24 novembre a été un grand jour pour le mouvement ouvrier portugais mobilisé contre l’austérité et les réductions budgétaires.
