Contre la tyrannie du bonheur
Au cœur du capitalisme dans sa phase néolibérale, le bonheur s’impose comme un outil de marketing et un produit de vente. Des manuels, des techniques managériales et des gourous aux méthodes high tech le pétrissent d’injonctions, de normes de « bien-être » qui se monnaient. Tout cela évidemment (…)