Une tribune libre pour la gauche québécoise en marche
« Le jour d’après » a été le mantra du gouvernement et des médias américains depuis le début du carnage à Gaza au cours des six mois qui ont suivi le 7 octobre. Le postulat de départ en est que le « processus de paix » ectoplasmique et la « normalisation » des relations israélo-arabes se (…)
L’invasion russe de l’Ukraine et l’escalade de la violence et du nettoyage ethnique d’Israël en Palestine sont devenues, au cours de l’année écoulée, les deux pôles d’une crise mondiale qui ne cesse de s’aggraver. Pour la gauche internationale, la guerre en Ukraine et la catastrophe en (…)
Alors que la fumée se dissipe – ou plus précisément, s’épaissit – sur les résultats des élections de mi-mandat, un résultat émerge clairement : la polarisation et la crise de la politique américaine se poursuivent. Et dans les deux prochaines années au moins, l’impasse politique signifie que (…)
Nous publions des extraits d’un article de David Finkel, mis en ligne sur le site de Solidarity (https://solidarity-us.or…). Un point de vue utile aux discussions qui animent les gauches anticapitalistes à l’échelle internationale (1) .
Cela aurait pu avoir lieu ici. 7 janvier 2021 - On entendra beaucoup parler dans les semaines à venir de la « force et de la résilience des institutions constitutionnelles démocratiques américaines » face à l’insistance du président défait à renverser l’élection de novembre, et à une tentative (…)
Alors que le soleil se levait sur un territoire américain ravagé par la COVID-19 et politiquement fracturé au lendemain du 3 novembre, les principales chaines de télévision nous disaient que l’élection présidentielle se jouerait dans deux ou trois États, la Pennsylvanie, le Michigan et le (…)
Solidarity, l’organisation socialiste qui parraine la revue Against the Current, ne prend aucune position officielle concernant l’élection présidentielle américaine de 2020. Compte tenu de la complexité des questions et de l’impossibilité de se réunir en « présentiel » pendant la pandémie de (…)
La négligence criminelle du régime iranien et de son armée - abattre un avion de ligne qui venait de décoller de son propre aéroport de Téhéran - devrait immédiatement nous rappeler les dizaines, voire les centaines d’occasions où les forces américaines ont causé le même genre de carnage (…)
Après la première réaction d’horreur, les réponses au massacre de Tucson se sont inscrites dans l’habituel discours de langue de bois, et comme la plupart des discours de nos jours, il est passablement inutile.
