« C’est la proposition que nous avons fait le 12 juin 2017 (hier) à l’UL. Nous sommes déterminés à l’obtenir car nos membres méritent un salaire décent, » indique Marion Duval, présidente du STEP.
Au cours de la dernière année, l’AFPC a négocié des conventions collectives qui prévoient des augmentations salariales qui atteindront au moins 15$ de l’heure pour les personnes salariées étudiantes. Les membres de l’AFPC qui travaillent à l’École nationale d’administration publique (ÉNAP) et à l’Université de Montréal (UdeM) touchent déjà un minimum de 15$. Ce minimum sera applicable dès 2019 à l’Université du Québec à Rimouski et l’Université du Québec à Trois-Rivières.
« Le salaire minimum à 15$ n’a pas causé de chaos à l’UdeM ou à l’ÉNAP. C’est la preuve qu’un salaire décent pour toutes et tous est possible. Nous nous attendons à la même ouverture à l’UL, » précise Magali Picard, Vice-présidente exécutive régionale de l’AFPC-Québec.
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