« Chez Termont et MGT on parle d’une première convention collective qui conventionne la gestion de la main d’œuvre. Les enjeux principaux des négociations étaient le rattrapage salarial et l’organisation des horaires du travail. Nous voulions des salaires concurrentiels et similaires aux autres groupes de travailleurs au Port. C’est réussi et nous avons un contrat de travail d’une durée de cinq ans », a expliqué Jean-Pierre Proulx, conseiller syndical du SCFP.
Viterra : le mauvais employeur
Malheureusement ce n’est pas le même son de cloche chez Viterra où 51 travailleurs sont en lockout depuis le 30 janvier. Viterra est une compagnie internationale de transport de grains qui a un historique de lockout, partout au pays.
« Nous espérons que les règlements chez MGT et Termont vont avoir une influence sur Viterra car les enjeux sont similaires. Il y a toujours une cinquantaine de femmes et hommes qui sont sur le trottoir tandis qu’un règlement est à portée de main », de conclure Jean-Pierre Proulx.
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