« L’AREQ est active dans le dossier de l’aide médicale à mourir depuis le début. Nous sommes soucieux de travailler avec les consensus exprimés lors de nos consultations auprès de nos membres. En ce sens, nous jugeons important de porter la voix des aînés dans tous les débats entourant l’aide médicale à mourir », souligne Lise Lapointe, présidente de l’AREQ.
Autodétermination et dignité
Dans son mémoire déposé à la Commission spéciale sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie, l’AREQ conclut qu’il faut permettre de demander à l’avance l’administration de l’aide médicale à mourir à un moment déterminé, répondant ainsi aux attentes d’une vaste majorité de personnes aînées qui aspirent à une fin de vie dans la dignité.
« Le Québec est prêt à franchir une nouvelle étape. L’autodétermination qui a caractérisé les personnes qui sont aujourd’hui aînées demeure un principe qui leur est cher. Il leur est essentiel de savoir que les décisions qu’elles prendront pour leur fin de vie seront respectées », ajoute Mme Lapointe.
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