Parmi les impacts des compressions et des mauvaises décisions qui en découlent, on peut, entre autres, noter :
– Abolition d’environ 200 postes vacants de professionnelles en soins et ce, malgré la surcharge de travail qui afflige les équipes ;
– Augmentation des unités de soins en situation de fardeau de tâche, pourtant aucune solution n’a été apportée et aucun financement n’a été accordé pour régler ces situations ;
– Absence du financement nécessaire au niveau de soins offerts par le CUSM ;
– Augmentation du temps d’attente à l’urgence, par manque de lits disponibles pour les patients.
« Le CUSM devrait être un exemple pour la dispensation des soins. C’est un centre universitaire de santé de renommée mondiale laissé à lui-même et abandonné par le gouvernement. La situation ne peut durer. Nous avons besoin d’actions immédiates et de financement à la hauteur des ambitions du CUSM », a conclu Denyse Joseph.
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