· l’accumulation par la dépossession (selon David Harvey) ;
· l’irrésistible destruction des communs couplée à l’assaut continu contre l’environnement ;
· l’aggravation des fractures entre le 1 % et les 99 % ;
· la militarisation pour stopper ou au moins ralentir le déclin de l’empire américain.
Alors à un premier niveau, la grande transition, c’est celle qui s’impose dans un monde à la dérive où se croisent plusieurs crises, d’où l’impression d’être dans un monde qui a perdu son « sens », qui régresse vers les formes crues du sexisme, du racisme, de la haine des classes populaires, de l’impérialisme du gros bâton.
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