Édition du 17 décembre 2024

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Négociations du secteur public

Négociations 2015 - La FIQ négocie pour pouvoir mieux vous soigner

MONTRÉAL, le 14 oct. 2015 - La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec - FIQ, fait paraitre, aujourd’hui, dans plusieurs quotidiens du Québec, une publicité ayant pour thème « Négocier pour mieux vous soigner. » La FIQ souhaite ainsi rappeler à la population québécoise ainsi qu’aux professionnelles en soins de partout au Québec les objectifs qui la guident dans la présente négociation. « Les infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes soignent quotidiennement dans des conditions difficiles. Dans le cadre de la négociation, nous avons proposé au gouvernement des solutions pour améliorer l’accessibilité ainsi que la qualité et la sécurité des soins aux patients, et offrir des conditions de travail plus humaines aux professionnelles en soins, notamment en ayant des professionnelles en soin en nombre suffisant sur le terrain. Nous négocions pour pouvoir mieux vous soigner », a déclaré la présidente de la FIQ, Régine Laurent.

On peut lire dans cette publicité ce qui suit :

DEPUIS PLUS D’UN AN, LA FIQ EST EN PREMIÈRE LIGNE DANS LES NÉGOCIATIONS pour que ses 66 000 membres ainsi que l’ensemble des infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes du réseau de la santé puissent continuer d’exercer leur profession dans un cadre sécuritaire, assurant ainsi le maintien de la qualité des soins aux patients. Notre refus d’accepter l’inacceptable, la pertinence de nos propos et l’appui populaire ont obligé le gouvernement à nous écouter et à discuter des solutions que nous avons mises de l’avant. Nous maintiendrons cette pression, sans relâche, non seulement pour la population, mais aussi pour toutes les professionnelles en soins du réseau, les patients et leurs proches qui attendent depuis si longtemps un système de santé qui soit véritablement à leur service.

« Dernièrement nous avons obtenu du gouvernement à la table de négociation qu’il change d’attitude et qu’il recule sur certaines récupérations salariales qu’ils souhaitaient nous imposer. Il nous reste encore beaucoup de travail à accomplir pour en arriver à une entente qui soit satisfaisante pour les professionnelles et pour la population québécoise. C’est pourquoi nous allons maintenir la pression pour forcer le gouvernement à se rapprocher de nous pour qu’on puisse offrir des soins de qualité et sécuritaires », a conclu Régine Laurent.

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