Montréal, le 13 juillet 2017 – Françoise David, Boucar Diouf et l’Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI) tiennent à remercier chaleureusement la population québécoise d’avoir répondu si généreusement à l’appel du 21 juin dernier visant à aider les populations touchées par la famine dans plusieurs pays d’Afrique et au Yémen.
Les trois organismes, membres de l’AQOCI, qui amassent des fonds au Québec (Développement et Paix, l’Œuvre Léger et Oxfam-Québec) nous ont informés que cet appel a été entendu et que les Québécoises et les Québécois ont été plus que généreux. C’est par centaines de milliers de dollars que l’on a pu amasser des dons. Le bilan final pourra être fait d’ici quelques semaines.
L’argent amassé servira entre autres à accroître le nombre d’enfants de moins de cinq ans pris en charge gratuitement dans des dispensaires pour traiter la malnutrition ; à accroître le nombre d’agriculteurs et d’agricultrices bénéficiant d’activités de soutien agricole qui leur permettent de nourrir leur famille à appuyer des organisations locales pour répondre aux besoins en eau et en nourriture ; et à installer des latrines et fournir du savon pour éviter la propagation de maladies.
Déjà, plusieurs milliers de familles – principalement des femmes enceintes, allaitantes, avec nourrissons ou enfants de moins de cinq ans – ont été suivis et ont bénéficié de programmes de vaccination grâce aux dons reçus.
« Mais malheureusement, la crise alimentaire n’est pas terminée et nous devons rester mobilisés pour que le drame humanitaire qui se vit dans plusieurs pays d’Afrique et au Yémen prenne fin », souligne Françoise David.
Même si la période (du 17 mars au 30 juin 2017) pendant laquelle le gouvernement canadien s’engageait à verser un montant équivalent aux dons reçus dans le Fonds de secours contre la famine est terminée, il est encore temps de faire un don aux organismes afin qu’ils poursuivent leur travail auprès des populations affectées par la famine. « De nombreuses communautés ont bénéficié d’une aide d’urgence grâce à l’appui de milliers de Québécoises et de Québécois. Il reste encore beaucoup à faire pour sauver des vies. Les organisations sur le terrain poursuivent leur action sans relâche », conclut Michel Lambert, coprésident de l’AQOCI.
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Source :
Hélène Gobeil
Responsable des communications
Association québécoise des organismes
de coopération internationale (AQOCI)
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