Outre les solutions relatives à l’économie et aux énergies renouvelables, l’APNQL demande que la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones soit mise en œuvre et compte sur l’actuel gouvernement fédéral pour respecter sa promesse à cet égard. La Déclaration prévoit que les peuples autochtones aient voix au chapitre des décisions et participent à part égale à la construction d’un avenir plus juste et durable.
« Nous sommes à la croisée des chemins et des solutions immédiates existent. Nos peuples luttent depuis des années pour protéger l’environnement tout en défendant la pérennité de nos cultures, de nos activités traditionnelles et de nos langues. La langue innue s’adapte à tous les jours en fonction d’un monde en perpétuel changement, je ne veux pas inventer un mot innu pour changement climatique » a déclaré le Chef de l’APNQL, M. Ghislain Picard.