« Ça fait des années que le SCFP demande que les OBNL qui profitent d’argent public divulguent leurs documents comme s’ils étaient assujettis à la Loi sur l’accès à l’information. Nous saluons cette excellente décision de l’administration Plante et invitons d’autres villes à emboîter le pas », de déclarer Denis Bolduc, président du SCFP-Québec.
Plus précisément, Montréal inclura une clause de transparence dans ses ententes avec les OBNL qui reçoivent plus de 500 000 $ en subventions.
Le Service du greffe sera responsable de recueillir les documents auprès des organismes visés. Les citoyens pourront faire une demande d’accès à la Ville de Montréal.
« Il y a quelques exceptions, mais en somme c’est une bonne nouvelle pour la démocratie. Quiconque profite d’argent public devrait être redevable au public », de conclure Denis Bolduc.
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