« Après plus de 75 séances de négociation et plus d’une année à la table, on constate qu’il y a encore des différends très importants entre nous et le gouvernement. Sur les enjeux fondamentaux, comme la gestion du temps supplémentaire, les ratios et la compensation des inconvénients, nous sommes toujours très éloignés. Dans ce contexte, on pense que la nomination d’un conciliateur pourra nous aider à progresser vers une entente », explique Julie Bouchard, présidente de la FIQ.
La FIQ indique que la présence d’un conciliateur est souhaitée le plus rapidement possible. Le Comité de négociation de la FIQ est prêt à travailler pendant la période des Fêtes.
« Le gouvernement est braqué sur ses positions et refuse de faire des compromis. Les propositions du gouvernement ne correspondent aucunement aux besoins des professionnelles en soins, notamment en ce qui concerne leur besoin de stabilité et de prévisibilité dans leur travail. Les professionnelles en soins se battent pour leurs conditions et celles des soins à la population », ajoute Julie Bouchard.
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