Selon elle, cette candidature démontre que les organisations étudiantes peuvent être de véritable pépinière pour la participation citoyenne. Elle profite de l’occasion pour exprimer son désir que d’autres jeunes emboîtent le pas et s’implique activement dans la société civile. « Nous souhaitons que cette candidature puisse avoir un effet d’entraînement et que cela donne l’idée à d’autres jeunes de s’impliquer, que ce soit dans leur association étudiante, un organisme communautaire, leur commission scolaire, leur municipalité, un parti politique ou même, grâce à l’adoption unanime du projet de loi 693 en décembre dernier, un conseil d’administration d’une société d’État » a affirmé Nicolas Lavallée, président de l’Union Étudiante du Québec.
De plus, elle souhaite que ce geste soit imité par d’autres candidates et candidats qui ont à cœur une éducation de qualité et accessible à tous. « Les organisations étudiantes sont des forces vives de notre société et il est encourageant de voir que les apprentissages que l’on y fait peuvent aider à équiper un futur candidat d’une formation politique provinciale. Les valeurs d’ouverture, les institutions démocratiques et les débats d’idée que l’on y trouve se doivent d’être plus souvent valorisés » a déclaré Nicolas Lavalée.
L’Union étudiante du Québec a pour mission de défendre les droits et intérêts de la communauté étudiante, de ses associations membres et de leurs membres, en promouvant, protégeant et améliorant la condition étudiante et la condition des communautés locales et internationales. Elle compte plus de 72 000 membres à travers le Québec.