« Nous voulons nous assurer que les discussions à venir portent sur ce qui est au cœur de nos préoccupations, dans le but d’en arriver à une entente négociée et satisfaisante. Cependant, nous avons aussi été clairs sur le fait qu’une entente ne serait pas possible sans un réinvestissement dans les services aux élèves et qu’elle ne serait pas non plus possible sans un allègement de la tâche des enseignants », a déclaré la présidente de la FSE, Mme Scalabrini.
« Après près d’un an de discussions aux tables avec des représentants patronaux qui n’avaient pas de réels mandats, force est de constater que nous sommes allés au bout de l’exercice. L’intensification des travaux doit mettre à l’avant-plan la nécessité d’un réinvestissement dans les services aux élèves et ceux en soutien aux enseignants. Le gouvernement doit être à l’écoute des besoins exprimés sur toutes les tribunes », a ajouté M. Goldfinch.
Notons que des représentants politiques se joindront aux porte-parole syndicaux pour la poursuite des discussions.