« Il est primordial que les relations avec les Premières Nations se retrouvent à l’agenda. Nous souhaitons voir lors de ce débat une ouverture sincère et des engagements clairs sur le respect de nos droits fondamentaux. Nous ne pouvons nous permettre un autre quatre ans de sur place et même de recul sur différents enjeux qui nous touchent. Le Québec tire de l’arrière en matière autochtone et doit faire mieux », déclare Ghislain Picard, Chef de l’APNQL.
Parmi les enjeux qui seront débattus, mentionnons le droit à l’autodétermination des peuples autochtones, notamment en matière de langue et culture et de protection de l’enfance, de même que la protection du territoire et des ressources. Pour engager le dialogue sur ces questions fondamentales, l’APNQL souhaite la tenue d’une commission parlementaire spéciale de l’Assemblée nationale.
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